Les fruits au sirop, des vrais fruits de saison : focus sur la pêche !

Publié le 13 mars 2019

S’il y a bien un fruit qui se mange à toutes les saisons, c’est bien la pêche… au sirop ! En attendant les fruits adorés du printemps, ou pour varier des pommes et poires de l’hiver, la pêche au sirop que nous avons choisie est une solution maligne !

S’il y a bien un fruit qui se mange à toutes les saisons, c’est bien la pêche… au sirop !

En attendant les fruits adorés du printemps, ou pour varier des pommes et poires de l’hiver, la pêche au sirop que nous avons choisie est une solution maligne !

Pourquoi maligne ?

  • Parce que, d’abord, la pêche au sirop baigne jusqu’à dégustation dans un sirop tout doux en sucre. Plus sucrée qu’à l’accoutumée, certes, mais qui se fait tout de même place belle dans nos desserts. Sans culpabilité.
  • Mais maligne surtout car les bocaux de pêches au sirop nous permettent de nous émanciper des saisons (et c’est bien la seule façon). Halte-là les envies de fraises, de cerises, ou de pêches plates au mois de mars ! On s’éloigne des étals et de leurs fruits précoces et sans goût : les fruits au sirop comme la pêche feront une alternative respectueuse, et gourmande. Patience…

La pêche au sirop : une alternative oui, mais un « fruit » à part entière, qui a sa place dans nos assiettes, dans nos box, et dans les vergers de Jérôme, notre producteur partenaire !

C’est Jérome, l’un de nos producteurs partenaires, qui nous a convaincus lors de l’une de nos visites sur son exploitation. La pêche au sirop y est travaillée avec minutie et passion, comme l’ensemble des fruits qu’il cultive, mais surtout avec des méthodes propres à la pêche au sirop. On vous explique.

  • A Seyssuel, en Rhône Alpes, Jérôme travaille entre autres fraises, pêches, abricots, cerises, et propose aussi des produits que l’on appelle produits « transformés ». Mais dans le cas de nos pêches au sirop, rien n’est laissé à la machine ! Bichonnés jusqu’à la fermeture du bocal, elles sont dénoyautées et épluchées à la main avant leur bain d’eau et de sirop. Beaucoup de précaution, de méthode, et un tour à l’étuve pour stérilisation plus tard : les bocaux sont prêts  !
  • On aurait pu penser que les pêches au sirop étaient en fait des pêches un peu trop mûres ou en carence de sucre, que Jérôme aurait mises en bocaux. Surprenant mais véridique, ne sont mises en bocaux que les pêches « Pavie », une variété que Jérome cultive exclusivement pour ses bocaux de pêches au sirop. Un fruit à part entière, oui oui. Ces fameuses pêches Pavie ont chez notre producteur une parcelle bien à elle au sein de son verger !
  • Pourquoi la pêche Pavie ? Cette variété à la peau duveteuse et au noyaux adhérent à la chair, est choisie pour la fermeté du fruit. Ainsi, et quel que soit (ou presque) le temps de conservation du bocal, les fruits y restent intactes, ne sont pas spongieux de sirop mais seulement recouverts d’une fine pellicule sucrée.

Le saviez-vous ?

  • Les cultures de Jérome sont certifiées « Vergers écoresponsables », un label qui certifie l’identité des fruits issus de vergers engagés dans la Charte Qualité des Pomiculteurs de France. Cette charte certifie l’expérience, la raison (agriculture durable, respect de l’environnement…), la vigilance, et la qualité du contrôle dans les parcelles du producteur.
  • Les conserves de pêche se gardent plusieurs mois dans un lieu frais et sec à l’abri de la lumière. Après ouverture, il faut les conserver au réfrigérateur 3 jours au maximum.
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