Un savoir-faire familial : Qualité et hospitalité

Les deux sœurs ont baigné dans le maraîchage depuis leur enfance. Filles de producteurs, leurs parents s’étaient à l’époque spécialisés dans la fraise. Avec sa renommée, la « Ferme Krieger »  recevaient des particuliers de toute la région pour récolter quelques paniers de fraises pour leur consommation personnelle et leurs confitures maison. Aujourd’hui, même si la « cueillette libre » a prit une part moins importante dans la ferme, la diversification des variétés cultivées à offert un étalement de la production sur l’ensemble de l’année et l’opportunité de ventes plus rémunératrices. L’accueil reste incomparable et la gentillesse de nos productrices alsaciennes sincère !

Diversification et vente directe : Un combo gagnant !

Il y a quelques années un magasin de producteur a éclos permettant aux sœurs de vendre leur production en direct à une clientèle exigeante et fidèle. D’ailleurs, l’Alsace porte dans sa tradition gastronomique un héritage agricole fort qui fait la fierté des alsaciens et la convoitise des régions voisines. À l’image de L’Îlot de la Meinau, la ferme urbaine en vente directe de la métropole strasbourgeoise, la Ferme Krieger n’échappe pas à l’exigence régionale en matière de production agricole.

Dans les allées vertes et touffues, de grands framboisiers finissent leur saison. On distingue néanmoins ici et là de petits points colorés. Accotées à des rangs sur fils les concombres poussent patiemment en attendant d’être récoltés courant juillet-août.
Les serres offrent la possibilité de protéger des températures froides de l’hiver alsacien et offrent une plage de production plus large. Des salades, courgettes, concombres, aubergines, asperges des pommes de terres, des blettes et bien d’autres légumes mais également une grande quantité de fruits comme les fraises, les framboises, les pommes et même quelques parcelles de vignes !

Les "mauvaises herbes"et fleurs des champs au milieu des cultures !

Chez les Krieger, on tente de réduire les traitements phytosanitaires dès que possible et on intègre des dispositifs environnementaux comme la protection biologique intégrée ! Et quand c’est pas possible ? Et bien on laisse les « mauvaises » herbes pousser et on ne récolte que le reste.