À la rencontre de Christophe, notre producteur de fraises dans la Drôme

Pierrelatte (26)

À Pierrelatte, aux portes de la Provence, Christophe, un jeune producteur en polyculture nous fait visiter son exploitation de fraises, nectarines, pêches et abricots.

La Blachette : une exploitation de famille et de passion

À la Blachette on produit des fraises, des abricots, des pêches et des nectarines que l’on vend en gros mais également directement depuis la ferme en vente directe.
Comme le nom de la zone de production le sous-entend, « les blachettes » signifie une petite « blache« , c’est un nom commun très répandu dans le sud est. Il vient de l’occitan « blaca » qui désigne un taillis de chênes terrain caractéristique du terroir de cette partie là de France.
Au sud de la Vallée du Rhône, les vergers bénéficient d’un ensoleillement important associé à une irrigation depuis le Rhône offrant des conditions optimales pour la production de fruits.

Il y a plus de 50 ans, le grand-père de Christophe commençait la culture du kiwi et de la fraise sur ces terres puis c’est le fils qui prendra le relais en ajoutant un pôle arboricole en pêches, abricots et de nectarines. Aujourd’hui, c’est au tour de Christophe, le petit-fils de reprendre les rennes de cette exploitation familiale en polyculture et de perpétuer avec passion le savoir-faire transmis de génération en génération.

Fraise, pêche ou nectarine : les fruits d’un travail de précision !

Afin de réduire l’utilisation d’insecticides, Christophe a mis en place des méthodes alternatives pour protéger ses cultures des ravageurs. Il s’agit de la « lutte intégrée » comme par exemple la technique de « confusion sexuelle » qui est une des techniques utilisées pour perturber biologiquement la reproduction d’insectes ravageurs comme les « lépidoptères ». Du coté des fraisiers, par exemple, la lutte intégrée est organisée grâce à 3 insectes qui ne font qu’une bouchée des ravageurs ! Ces techniques empêchent la multiplication des ravageurs ciblés et permet de ne pas avoir recours à un produit chimique.

Enfin, le substrat sur lesquels les plans de fraisiers sont plantés sont en fibres de coco, ils offrent une assise confortable pour les fraisiers et neutre en terme d’apport organique.

Une fois la saison passée, Christophe les offre aux particuliers des environs afin qu’ils puissent les recycler dans leurs jardin ! Une manière pour lui de créer du lien avec les riverains et de faire connaître son exploitation.

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