Une belle tarte aux fraises en décembre ou un carpaccio de tomates mozzarella au début du printemps ? Qui n'aime pas se faire plaisir avec des fruits et des légumes d'été pour affronter la grisaille ? Malheureusement, ces petits plaisirs ont un prix : leur bilan carbone. En provenance de pays chauds, nous sommes loin des circuits courts. Voici quelques solutions à adopter pour réduire considérablement l'empreinte carbone de son assiette.
Les aliments peuvent avoir un bilan très faible ou très important selon leur origine et donc la distance entre le producteur et le consommateur. Entre une pomme cultivée localement et un kiwi de Nouvelle-Zélande, le bilan peut être multiplié par 10. Privilégiez donc les circuits courts, les ventes directes et les marchés.
Tous les fruits et les légumes, même locaux, ne se valent pas. La fraise a naturellement un bilan carbone supérieur à la pomme car elle nécessite beaucoup d'eau. Le fait de choisir des fruits et légumes courants et faciles à produire limite considérablement l'impact environnemental. Quand en plus, ils sont issus de l'agriculture biologique, c'est encore mieux.
La saisonnalité est également indispensable. Les fruits et légumes produits hors-saison sont souvent plus énergivores et moins intéressants sur le plan nutritif et gustatif.
Vous aimez déguster des tomates ou des cerises durant l'hiver? Changez légèrement vos habitudes de consommation et pensez aux bocaux ! Ils vous permettront de manger des produits de meilleure qualité et peu impactants pour l'environnement.
De manière générale, pour limiter l'impact écologique de votre alimentation, misez sur les fruits et des légumes courants, les céréales complètes, les légumes secs et limitez la consommation de produits issus des animaux : viandes, poissons, œufs, produits laitiers.
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